Actualités crédit immobilier
Le 31/05/2017 par 2LCourtage
Le prêt bancaire reste l’option la plus simple et la plus abordable dans le cas d’un investissement immobilier, surtout pour un Français résidant à l’étranger.
© Crédit photo : Pixabay
La première condition exigée par les établissements financiers, c’est la solvabilité de son client. Un critère qui rime avec la stabilité professionnelle de ce dernier. D’autant plus que l’emprunteur facilitera sa démarche financière s’il ajoute un apport personnel en numéraire sur la balance des négociations dont la valeur sera décisive.
Il sera aussi évaluer par rapport à son taux d’endettement. Car pour obtenir l’aval de la banque, l’emprunteur ne doit pas contracter de dettes qui accaparent le tiers de ses revenus. Cependant, il y a des créanciers qui sont assez flexibles sur ce point. Toutes les démarches à entreprendre doivent donc s’orienter vers la justification de la solidité des avoirs du client.
Dans un investissement immobilier, le système juridique français s’applique également sur l’emprunteur habitant sur un sol étranger, s’il est de nationalité française. Du moins, il doit avoir son contrat écrit en français, dont la structure s’aligne sur le modèle de contrat de travail de son pays d’origine.
La possibilité d’être soumis à un contrat en CDI local nécessite la traduction du document afin que la banque puisse considérer la situation professionnelle de son futur débiteur. Ce dernier sera demandé à fournir un bulletin de paie afin de confirmer ses capacités à honorer ses dettes en temps voulu.
Les personnes expatriées en contrat CDD seront surtout évaluées selon le montant de leurs apports personnels. Leur situation professionnelle ne permettant pas à la banque de s’assurer pleinement de leur solvabilité. Elles devront donc partir sur des bases convaincantes pour obtenir l’approbation d’octroi du crédit immobilier.
La différence dans le cas des non-résidents et des résidents sur le territoire natal se trouve dans le taux de crédit immobilier appliqué par les banques. En premier lieu, la situation géographique et les risques afférents sont pris en compte. Le Français qui se trouve à l’étranger paie plus d’intérêt, il doit calculer entre 0,20 et 0,50 % de plus que le taux moyen utilisé sur le sol français. En deuxième lieu, les transactions financières, comme le rapatriement des épargnes et son destinataire, parce que l’expatrié n’est pas obligé d’être affilié à une banque ou une assurance en France.
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